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Très brièvement, retraçons rapidement ici les caractéristiques essentielles d'une voiture qui fut certainement en France, sur le plan technique, la super nouveauté de l'année. La 204 est donc une traction avant dont l'ensemble motopropulseur est disposé transversalement suivant, à quelques détails près, la technique innovée par B.M.C. il y a plusieurs années. 
Le moteur est un des rares ensembles que nous connaissions en grande série à être entièrement en aluminium coulé sous pression. Mécaniquement, il constitue, sans aucun doute, la pièce maîtresse de ce modèle puisqu'il est, de plus, à arbre à cames en tête, qu'il est équipé d'un vilebrequin cinq paliers et que son refroidissement est confié à un ventilateur débrayable. Cet ensemble, est du type supercarré (75 mm d'alésage et 64 mm de course). Sa cylindrée exacte est de. 1130 cm3 et son rapport volumétrique de 8,8/1. Ainsi conçu, il développe 58 ch à 5 800 tr/mn. Tous les éléments constitutifs de la transmission sont, groupés dans un seul carter et sont lubrifiés par la même huile que le moteur. 
Quant à la suspension, elle est à roues indépendantes tant à l'avant qu'à l'arrière alors qu'il faut noter à l'avant l'apparition des freins à disque chez Peugeot. La direction à crémaillère est donc en fait le seul et dernier témoin des traditions de conception sochalienne. 
Voilà donc, très rapidement, esquissées les grandes lignes d'une voiture dont nous avons pu prendre le volant sur plus de 2000 km. Mais comment se présente la 204 aux yeux de son éventuel acquéreur. Esthétiquement, on peut ne pas la trouver banale, quant à estimer qu'elle est jolie, c'est une affaire de goût personnel ! 
A l'avant (tout comme à l'arrière d'ailleurs) les pare-chocs ne sont pas munis de gardes. Le capot moteur soulevé, on constate que l'accessibilité générale est satisfaisante. En ce qui concerne l'habitacle, on est frappé par l'excellente visibilité qui existe sous tous les angles. Même mention pour l'habitabilité, remarquable à l'avant et très convenable à l'arrière même lorsque les sièges sont reculés. 
La garde au toit est digne d'une grosse voiture et la position de conduite louable. 
 

Sur le plan de l'aménagement de la carrosserie, la liste des satisfactions s'arrête là, ce qui est peu sur une voiture de ce prix. Les plus optimistes vous diront que le tableau de bord est austère. Plus simplement nous le trouvons triste. il se compose essentiellement d'une vaste tablette parcourant toute la largeur de la voiture. Derrière l'axe du volant, un boîtier réunit l'indicateur de vitesse, quelques instruments de contrôle et quelques voyants. On ne rencontre ni compteur journalier, ni thermomètre à eau, ni avertisseur lumineux, ni même un pauvre témoin de phares. Le cendrier est fragile et peu pratique et ne quittons pas la planche de bord sans remarquer qu'elle ne comporte aucun vide-poche fermant à clef ou ne serait-ce même qu'équipé d'un couvercle.
A l'avant comme à l'arrière, on remarque dans chaque panneau de porte un accoudoir très pratique mais il n'y a pas trace de la moindre poignée de maintien. Toujours à l'avant si l'on peut admettre que le dessin des sièges est satisfaisant et que le système de leur réglage longitudinal est pratique, il faut vivement déplorer l'absence de toute possibilité d'inclinaison du dossier, lacune inadmissible sur une voiture de cette catégorie tout comme le refus d'offrir un cendrier aux occupants arrière. Enfin, nous noterons que la. tenue en endurance des sièges avant et de la banquette arrière n'est pas irréprochable.

Sur une voiture de 7000 km, l'assise s'affaisse à l'arrière et formé avec le dossier une cuvette peu agréable. Même remarque pour la banquette arrière qui présente un peu trop généreusement aux cuisses la fermeté de la face avant de sa carcasse, Quittons l'habitacle et nos vifs regrets en espérant que, très rapidement, les indispensables remèdes seront apportés à tant de maux et jetons un dernier il sur le coffre. son volume est fort intéressant d'autant que - la roue de secours est placée à l'extérieur. Sur le côté droit, on trouve soigneusement fixé le cric qui est aussi solide que pratique. Le coffre -refermé, l'il, tombe sur une sortie d'échappement peu esthétique qui mériterait que l'on veuille bien la recouvrir d'un petit enjoliveur. Enfin, l'aspect pratique du bouchon de réservoir est très discutable. Bien qu'il soit muni d'une flèche, peu de pompistes savent que son verrouillage obéit à un sens de fermeture.

 

  • le Moteur

Affichant 7 000 km au compteur, donc bien rodée, la voiture dont nous disposions devait, dès les relevés de chronométrage, nous créer quelque agréable surprise puis-qu’à son passage sur l'anneau de vitesse de Montlhéry. elle atteignait presque 142 km/h chiffre équivalent donc à plus de 145 km/h sur route. lçi, une question se pose: pourquoi Peugeot fait-il donc preuve d'une si grande modestie lorsqu'il publie la vitesse maximale de ce modèle qui si l'on croit la notice ne serait capable que d'un peu plus de 138 km/h? Une seule réponse vient à l'esprit: la vélocité de la cadette pourrait nuire au standing de la grande sœur nommée 404. En ce qui concerne les accélérations, même satisfaction puisque la 204 passe aux 400 m départ arrêté en 20 s 7/10 et aux 1000 m en 39 s 3/l0, ce qui est fort bien pour une 1100 cc ce qui, nous le verrons d'ailleurs un peu plus loin, est une voiture qui sur le plan de la performance, est pratiquement sans rivale sur route. Au chapitre de la consommation, les conducteurs nonchalants ne peuvent espérer dépasser 7 L aux 100 km alors que les " fans " - de l'accélérateur réaliseront des moyennes horaires équivalentes à celles une bonne 1500 cc avec une consommation moyenne de 10,2 L aux 100 km.

Sur ce point, on est en droit d'estimer que les motoristes sochaliens n'ont pas, sur le plan de l'économie de carburant, battu de records, mais rendons-leur cette justice : la 204 ne vient jamais à horrifier son conducteur lorsqu'il médite au pied de la pompe à essence et ce, même après des étapes bouclées à plus de 100 km/h, ce qui n'est à la portée de toutes les voitures de 1100cc.

 

Le niveau sonore de ce mécanisme est en général très satisfaisant et jusqu'à 130 km/h appartient même à ce que nous connaissons de mieux dans ce domaine. Au delà on perçoit l'apparition d'un léger ronronnement qui va en s'amplifiant progressivement avec le régime et c'est sans doute en laissant tomber la vitesse de 150 à 120 km/h environ que le bruit se manifeste. On perçoit en effet au cours de décélération une espèce de râle hoqueteux assez sourd dont l'effet le plus gênant est sans doute de ne pas avoir une tonalité très musicale et une intensité très constante Cela dit, nous avons également recueilli dans le creux de notre oreille chatouilleuse un crépitement métallique très bref mais très sec vers 130 km/h en 4ème et vers 90 km/h en 3ème. Toujours au registre des critiques, il faut noter que la résonance du bruit moteur est beaucoup plus perceptible aux places arrière qu'aux places. avant et ce, sur . certains régimes, à un degré prohibitif. Toutefois, il convient de ne pas oublier de souligner tout ce que nous avons pu noter de très positif sur ce moteur en dehors des performances déjà citées. Sa souplesse est remarquable puisqu'il est possible de laisser tomber le régime en 4ème sur des vitesses de rotation extrêmement basses sans que jamais le moteur ne manifeste, et, surtout, sans que jamais il refuse de repartir énergiquement à la plus légère sollicitation de l'accélérateur. Ce point d'importance procure à la 204 un agrément considérable dans le trafic urbain. La répartition de la puissance est également irréprochable et permet de ne faire qu'un usage très modéré de la boite de vitesses. Cette docilité du moteur invite, au milieu d'une circulation moyenne, à conduire presque avec la même paresse que celle que l'on peut manifester au volant d'une voiture à transmission automatique.
Pour ceux qui aiment conduire à la cravache, nous avons pu constater qu'au delà de 110 km/h, la 204 se découvrait un second souffle et s'envolait littéralement. Très beau moteur donc qui porte à lui seul la personnalité et l'agrément de cette voiture. 

 

 

  • Transmission

On dispose de quatre rapports synchronisés efficacement et la première en particulier fait désormais oublier- tout ce que l'on avait pu reprocher à la 404. On relève, seulement à froid, une dureté d'engagement un peu trop résistante qui, au demeurant, disparaît après quelques centaine de mètres.

 

Toujours dans les détails, nous estimons que la course du levier est peut-être un peu grande, surtout pour les utilisateurs aux bras très courts, remarque surtout valable de 3ème en 4ème. En accélération, le couple susurre intensément et son chant aigu trouve d'ailleurs en la dynamo ainsi que dans l'ensemble des poulies, des complices dont une oreille avertie se dispenserait bien volontiers.

 

Enfin, pour en finir avec les remarques critiques, la voiture dont nous disposions devait manifester une prédilection marquée augmentant avec le kilométrage, pour que la 3ème abandonne sa position et revienne au point mort à la suite d'un passage 4/3ème rapide ou d'une sollicitation un peu brutale du frein moteur alors que nous étions en 3ème. Nous souhaitons que ce défaut ne puisse être qu'un cas d'espèce car il est plus qu'agaçant.
En dehors de cela, l'étagement se met au service de l'agrément moteur pour les utilisations les plus diverses puisque l'on peut demander 40 km/h à la première, 75 km/h à la deuxième et plus de 110 km/h à la troisième. 

 

  • Direction

Précise, douce, stable, très peu sensible aux variations de couple, c'est un des plus beaux mécanismes que nous connaissions actuellement, Illustrant brillamment tout ce qu'il est possible de demander à une direction à crémaillère. Confort
 

  • Confort​

Nous avions pu lors de notre première prise de contact avec la voiture (sur les routes au très bon revêtement, rappelons-le) souligner le bon confort de suspension de la 204. Dans ces conditions de route et de distance, cette appréciation reste valable mais doit très sensiblement se nuancer et même se modifier pour qui doit rouler longuement sur des routes de qualité moyenne (et le réseau français n'en manque hélas pas).

Avant d'entamer la relation de ce point, If nous faut faire ici une fois de plus la part de l'équipement pneumatique, an précisant que c'est bien avec le Michelin X que la 204 se porte le mieux (ou plus exactement le moins mal). Nous avons pu, an effet, essayer les trois marques de pneus qui équipent cette voiture et noter à partir de celles-ci une fois de plus l'importance qu'il peut y avoir dans le choix du pneu, et plus encore dans la détermination de la pression de gonflage. La 204 n'est pas une voiture extraordinairement lourde, elle est rapide certes, mais ne se destine que très rarement à une clientèle sportive, alors pourquoi certains fabricants ont-ils pu recommander de gonfler leurs enveloppes à 2 kg à l'avant et à 2,2 kg à l'arrière. C'est ici que se situe la sagesse de Michelin qui se contente, et cela est amplement suffisant, de 300 g de moins tant à l'avant qu'à l'arrière. Il faut, à notre sens, savoir sacrifier un peu à la stabilité en ligne droite et à la pureté de la trajectoire en virage au profit du confort.

 

Oui, car sur revêtement ondulé les rebonds de roues arrière s'amorcent assez facilement, pas très sèchement peut-être, mais avec une certaine intensité, et si, à vitesse moyenne, ils n'ont d'autre pouvoir que de transmettre un bruit sourd, à vive allure ils parviennent à posséder une ampleur qui donne au buste un mouvement de va-et-vient vertical rapidement éprouvant contre lequel la bonne volonté de l'assise du siège ne peut rien. Aux places arrière, ce défaut est encore plus perceptible, tout comme le roulement de tambour assez sonore de la suspension arrière qui semble avoir son origine au niveau de la fixations supérieure des amortisseurs, bruit auquel s'ajoute bien désagréablement une certaine résonance des pneus. Bien sûr, il y a pire encore, mais rarement sur une voiture de ce prix.
Voilà donc pour la suspension un bilan assez tiède pour celui qui doit parcourir de longues étapes sur de mauvaises routes. 

 

  • Tenue de route


L'homme tranquille peut prendre confiant le volant d'une 204. En usage normal, cette voiture est extrêmement saine et ne pose pas le moindre problème de conduite. On notera toutefois que même pour les plus paisibles, l'inclinaison de la carrosserie en virage peut être considérée comme excessive. Cela précisé, souvenons-nous que ce modèle est rapide et qu'en conséquence nombre d'utilisateurs sont susceptibles de vouloir exploiter les possibilités intéressantes de son moteur.

Ici, on a la sensation très nette que ceux; qui avaient charge d'essayer cette voiture dans le cadre de sa mise au point, s'ils avaient la parfaite connaissance des problèmes de la sécurité sur le plan de la tenue de route, avaient une méconnaissance directement proportionnelle de ce qu'il est possible d'exiger de l'agrément de la conduite rapide. Oui, on peut aimer conduire rapidement et agréablement. Cela n'est nullement incompatible. Or, le manque d'adhérence des roues avant de cette voiture, imputable sans aucun doute à l'absence de barre stabilisatrice, compromet assez sérieusement l'agrément dont Il est question ici. Cette affirmation s'appuie sur de nombreux exemples rencontrés au cours de notre essai. Au passage d'un dos d'âne où même d'une bosse importante franchis à vive allure, la partie avant de la voiture se soulage de telle façon que lorsque les roues reprennent contact avec le sol elles patinent pendant un court instant. Ce bref moment de - survol - de l'obstacle traduit fort bien la perte totale d'adhérence de l'essieu tracteur puisque l'on entend très nettement le moteur s'emballer.
Même affolement  en virage sur route mouillée (et cela assez facilement) ou même plus simplement lorsque l'on force, la voiture sur sa trajectoire idéale. Dans ce cas on ressent sans attention particulière le soulagement exagéré de la roue intérieure au virage, qui à la mesure des déformations de la route ou des corrections du volant, se déplace verticalement de bas an haut, donnant à la voiture un comportement tel qu'il Il va sans dire que le pneu, qui visiblement est déjà sous-dimensionné, apprécie peu ce genre de figure et inscrit sur le champ dans sa propre gomme toutes les facéties du revêtement, ce qui, bien sûr, n'est pas tellement propice à l'entretien d'une longévité exceptionnelle. Soulignons encore que le phénomène ci-dessus décrit ne se produit qu'en virage relativement serré au revêtement très moyen fera dire aux spécialistes que dans ces conditions la 204 ce pioche en virage.

Sur bonne route, même en conduite rapide, la 204 ne manifeste pas de glissement de l'essieu avant exagéré (sous-virage) si fréquemment propre aux tractions avant, et puis à un certain moment. chose assez amusante, dérive alors à partir de l'essieu arrière. Un tel comportement exploité par un pilote expérimenté, confère à la voiture une maniabilité assez extraordinaire que pourrait lui envier plus d'un modèle à destination spécifiquement sportive.

Signalons enfin que les pneus sifflent assez facilement an virage. - En résumé, problème d'adhérence car les roues avant ne portant pas atteinte à la sécurité de conduite mais à l'agrément ainsi qu'à la tenue de l'équipement pneumatique et à un degré tel qu'il nous semble impératif de le corriger rapidement.
Les freins à disques à l'avant viennent donc de faire leur entrée au sein de la gamme Peugeot. A bonne et moyenne allure, bravo! La voiture freine bien, résiste très convenablement et même brillamment à la descente forcenée d'un long col, tout cela en ne grinçant que très faiblement et pendant un temps très court lorsque les disques sont trop froids ou trop chauds, de toute façon leur silence de fonctionnement est à mettre à leur actif.
Touchons maintenant au délicat problème des ralentissements à basse vitesse, c'est-à-dire en ville ou lorsqu'il faut subir la contrainte de la progression en file interminable à 60 km/h. Dans ces deux cas, mieux ne vaut pas suivre de trop prés celui qui vous précède si vous ne tenez pas à porter atteinte à la séduction originelle de son dessin de pare-chocs. En effet, à basse vitesse il faut non seulement appuyer très fort sur la pédale mais également prévoir, car la puissance de freinage est très relative et constitue sans aucun doute un des défauts les plus importants de cette voiture qu'elle appelle à l'adjonction urgente d'un système d'assistance.

  • Carrosserie- accessoires

Nous ajouterons aux remarques citées au début de cet article celles qui prennent une signification particulière en cours d'utilisation.

Il y a d'abord le capot moteur qui manquant de rigidité, vibre intensément. Son manque d'appui au niveau des phares donne à grande vitesse la sensation qu'il est mal verrouillé, ce qui est peu rassurant - La partie gauche du pare-brise échappe de façon trop importante à l'action des essuie-glaces. Le choix d'une graduation impaire pour le compteur de vitesse n'est pas judicieux toutes les limitations actuelles (40 et 60 km/h en particulier) reposent sur des chiffres pairs. - Les bruits aérodynamiques sont assez importants surtout au niveau de l'encadrement supérieur des portes avant. - L'ouverture de la porte avant droite ne commande pas le plafonnier (il y a parfois de bien triste économies !). - La baguette chromée qui parcourt la planche de bord se reflète partiellement de jour dans le pare-brise, la nuit, l'éclairage du tableau de bord se projette sur la face supérieure de la gaine de colonne de direction occasionnant un reflet gênant
Il serait bon que la commande d'avertisseur dispose d'un ressort sensiblement plus résistant, groupée avec la commande d'éclairage, on parvient parfois lors d'un mise en code un peu trop impétueuse à klaxonner. 

  • Conclusion

Au terme de cet essai, on peut s'étonner de la liste assez longue des améliorations dont nous aimerions voir cette voiture bénéficier, liste qui n'est pas une opposition au succès que ce modèle a connu dès son lancement: Non pas, notre réflexe n'est que très normal et peut, en quelque sorte, se comparer à celui de l'enseignant vis-à-vis de son élève le plus doué, ne tenant pas compte des succès qu'il a déjà obtenu mais de ceux qu'il doit encore obtenir toucher définitivement au but. Oui, dans la grande classe des nouveautés automobiles de l'année, la 204 est certainement l'un des élèves les doués et doit, de ce fait, encore beaucoup mieux faire.

Voiture aux performances brillantes, très habitable, ne posant que peu de problèmes de conduite en utilisation normale (son freinage à basse vitesse mis à part), la 204, ci elle était vendue à un prix très, populaire, pourrait certainement occuper une place privilégiée sur le marché européen. Or, on connaît les rondeurs de la somme qu'exige son acquisition. A ce prix, ce qui est détail dans les catégorie; inférieures s'appelle ici lacune. Il convient donc d'équiper au plus tôt cette voiture d'une barre stabilisatrice, à l'avant, de munir son freinage d'un mécanisme d'assistance et de compléter très sérieusement son habitacle, en ce qui concerne l'équipement général. C'est peut-être beaucoup demander mais le client ne pas être le seul à savoir que l'agrément en automobile coûte très cher.

L'essai routier
Extrait du site 204/304
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